Pour financer l’acquisition de son utilitaire, le professionnel peut opter pour l’achat à crédit, l’achat au comptant et le leasing. En raison de ses nombreux avantages, cette dernière est la solution préférée des professionnels d’autant plus qu’ils ont le choix entre la LOA et la LLD.
Pourquoi louer plutôt que d’acheter son utilitaire ?
Le site utiliperf.fr est à consulter pour connaître la définition et les caractéristiques d’un véhicule utilitaire. Pour acquérir un utilitaire, la location s’avère la solution idéale pour une entreprise. En effet, le leasing ne nécessite pas de payer en une fois une somme conséquente pour l’acheter au comptant ni de recourir à un crédit bancaire. L’entreprise ne paie que des mensualités tout au long du contrat d’une durée de 2 à 6 ans. Ceux-ci sont calculés en fonction du kilométrage prévisionnel, de la durée du contrat et des services annexes inclus dans le contrat et fixés au moment de sa signature. D’autre part, le leasing permet de bénéficier de la déductibilité des loyers sur le revenu imposable, la récupération à 100% de la TVA ou de changer régulièrement de véhicule.
Acquérir son utilitaire : LOA ou LLD ?
La LOA et la LLD sont les deux formules de financement de véhicule et il est utile de tout savoir du leasing d’utilitaire avant de choisir l’une ou l’autre. En ce sens, ce site met en avant leurs avantages et leurs inconvénients. Le loyer de la LOA est moins élevé que celui de la LLD et l’entreprise peut devenir propriétaire du véhicule en fin de contrat en réglant sa valeur résiduelle. En revanche, la LOA offre un kilométrage annuel limité à 15 000 km et parfois même à 10 000 km. Le dépassement de ce plafond entraîne le paiement de pénalités. Cette formule convient davantage à une entreprise à moindres déplacements. À l’inverse, la LLD propose un forfait kilométrique plus avantageux pour les entreprises qui ont de fréquents déplacements et la prise en charge de l’entretien permet d’externaliser la gestion du véhicule. Toutefois, la LLD n’offre pas d’option d’achat, le véhicule est donc à restituer impérativement au terme du contrat. Par ailleurs, des indemnités peuvent être facturées à l’entreprise lors de la restitution du véhicule selon son état.